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Par alc-rando le 10 Septembre 2018 à 21:39
Animateurs : Daniel Sordet et Daniel Verseux.
Participants : 46.
Transport : par prestataire avec un grand bus.
C'est par un beau week-end annoncé, avec la fraîcheur retrouvée et quelques nuages toutefois, que notre groupe de randonneurs a découvert l'est de notre région Bourgogne-Franche-Comté : Le Belfortain.
Hormis quelques problèmes de réveil, d'approvisionnement en pain ou encore de piqûre de guêpe, cette nouvelle "Aventure" de rentrée aura marqué les corps et les esprits. Mais la bonne ambiance habituelle a permis à tous de se surpasser, que ce soit sur le terrain ... ou à table.
Samedi 01 septembre : La Planche des Belles Filles.
Dimanche 02 septembre : Un Lion entre forts et étangs.
Photos : Claude DAUGABEL, Bernard LEVRET, Daniel VERSEUX.
Commentaires : Daniel VERSEUX
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Par alc-rando le 10 Septembre 2018 à 21:28
Lieu de départ : Auxelles-Haut.
Un parcours de 15,5 km sur le sentier du Souvenir, rappelant le sacrifice des résistants FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) en septembre 1944.
Le parcours de 15,5 km (sens antihoraire).
Arrivée à Auxelles-Haut après un voyage ensommeillé. Il est 9h30, il fait 13°, il faut s'ébranler vers les hauteurs ...
... et très rapidement, la montée régulière fait tomber les vêtements douillets.
Des stèles et des panneaux explicatifs jalonnent ce chemin en mémoire des héros maquisards tombés sous les balles de l'occupant.
L'Etang des Belles Filles (à sec) ... et sa légende :
"Il y a bien longtemps, la belle Inès s'y retira avec d'autres par peur des envahisseurs suédois. Leur chef, soudain épris par la beauté de la jeune fille, voulut arrêter sa troupe mais les soldats se ruèrent sur leurs proies en hurlant. Avec ses compagnes, Inès se jeta dans l'Etang et s'y noya. Le Chef suédois dépité ne put hélas la sauver ; il lui donna alors un baiser sur le front puis, avec son poignard, grava une épitaphe sur une planche".
Pour voir la Belle Fille, il faut à nouveau grimper ...
... et voilà la récompense.
Peut-être est-ce le jeune et beau Chef suédois statufié ?
Cette côte à 20% est terrible à pieds.
Pas étonnant qu'elle soit redoutée des cyclistes.
Au sommet de la "Planche des Belles Filles", à 1148 m d'altitude. De la fatigue certes, mais quelle satisfaction d'y être tous parvenus après un départ à 580 m !
La descente amorcée depuis quelque temps n'est pas de tout repos ... surtout pour les genoux ...
... mais quel panorama à 180° ! Derrière le massif boisé, on aperçoit les Etangs du site de Malsaucy, but final de notre rando du lendemain.
La Vierge d'Auxelles-Haut veille sur eux, mais attention, bientôt la trompette du départ !
En bas à gauche, le village où nous attend notre bus ...
... nous y serons vers 16h15. Vite ! Enlever les chaussures et se relaxer. Dîner à 19h30. Ouf ! Çà laisse un peu de temps.
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Par alc-rando le 4 Juillet 2018 à 21:31
Voici des liens vers les différents articles relatant cette fugue :
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Par alc-rando le 4 Juillet 2018 à 21:23
Animateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 26.
Visite du Musée Mémorial du Linge et randonnée autour du Champ de bataille du Linge et du Barrenkoph.
Le Musée donne accès aux vestiges du Champ de bataille (tranchées, blockhaus) et est un témoin poignant de cette guerre des tranchées.
Avant de retourner aux minibus pour le retour sur Longvic, à la sortie du Barrenkopf, une jolie vue sur Munster.
Photos : Denise Biguet, Bernard Levret et Bernard Mathieu.
Commentaires : Jean-Pierre Biguet.
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Par alc-rando le 4 Juillet 2018 à 21:10
Animateur: Jean-Pierre Biguet.
Participants : 26.
Le Lac Blanc et le Lac Noir.
Cette jolie randonnée permet de rejoindre Le Lac Blanc et le Lac Noir en les abordant par le bas avec un départ au Col de Wettstein où se trouve un cimetière Français.
Entre le Lac Blanc et le Lac Noir en suivant le Sentier Cornélius, nous découvrons la source du mème nom.
Photos : Denise Biguet et Bernard Levret.
Commentaires : Jean-Pierre Biguet.
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Par alc-rando le 4 Juillet 2018 à 20:59
Animateur: Jean-Pierre Biguet.
Participants: 26.
Visite libre de Eguisheim et de Kaiserberg.
Après un départ du parking Jean Bouhey à 10h00 et une pause sur l'Aire de la ''Porte d'Alsace'', direction deux villages classés Villages préférés des Français, Eguisheim en 2013 et Kaiserberg en 2017.
Eguisheim et sa Fontaine octogonale et la statue de St Léon, la Fontaine de la Vierge et une Fontaine de 155, ses veilles rues et ses vieux futs.
Puis direction Kaiserberg, ville natale du Docteur Schweitzer. Sur la Tour de la Porte Haute, on peut voir un nid de cigognes.
Kaiserberg est une ville aussi très attachée ... au tri sélectif.Photos : Denise Biguet et Bernard Levret.
Commentaires: Jean-Pierre Biguet.
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Par alc-rando le 18 Juin 2018 à 21:32
Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Caldeirao Verde - 13.7 km - 580+/560-
L'itinéraire du Nord au Sud-Est, en passant par le Sud-Ouest. (Vous suivez jusque-là ?)
Pour nous rendre au départ de notre dernière randonnée (snif !), nous commençons par passer sous la fameuse piste de l'aéroport de Funchal, rallongée de 1500 m grâce à un tablier posé sur 180 piliers*.
Puis à Santana, nous apercevons les maisons traditionnelles du Nord de l'île. Inhabitées, elles ont été restaurées à l'intention des touristes.
A Ilha, Maciel reprend la direction des opérations, devant un groupe de randonneurs particulièrement attentifs**. Il annonce une montée par paliers.
Et effectivement, montées il y eut.
Après un énième palier et une énième montée ...
... nous reprenons contact avec une levada*** et ses tunnels nettement plus bas que celui du premier jour (n'est-ce pas Michel ?).
A la sortie du tunnel, un épais brouillard masque le paysage. D'après Maciel "C'est bien !"****.
Ma pauvre Monique, où ne te font-ils pas passer ? Heureusement Nono veille.
Ambiance tropicale avec la progression qui se poursuit dans les nuages jusqu'à parvenir au ...
... Caldeirao Verde qui se "dévoile" enfin. (si je puis dire...)
Après un pique-nique rapide, c'est le retour, avec ici une scène … de croisement.
Ça va Martine ? Détendue ?... et un léger "aperçu" du relief.
Les 4 tunnels passés, le chemin s'élargit jusqu'à ...
... la Maison du Parc de Queimadas, où est prise cette photo du groupe.
La journée se termine par une visite attendue depuis le premier jour : une cave de Madère. Et c'est à l'issue que nous nous retrouvons tous avec Maciel pour une dernière puncha avant de faire nos valises et de reprendre l'avion le lendemain matin.
* Ce n'est pas un mythe, nous l'avons constaté tout au long de notre séjour. Les Madériens maîtrisent le béton. Mais attention à ne pas trop bétonner !
** Ah c'est sûr qu'il sait y faire Maciel. Y en a pas un qui bronche. Les animenteurs de l'ALC vont donc se former au maniement de la "baguette pédagogique" afin d'obtenir ce résultat idyllique.
*** Levada de caldeirao verde.
**** Il semble que l'abîme de 400 m annoncé par le topo guide ralentisse le rythme quand on voit jusqu'au fond. Allez comprendre pourquoi !PS : Les contraintes techniques du blog m'obligent à limiter le nombre de photos. Il m'a fallu faire un tri et je suis certain mesdames que l'absence de Nono vous aura marqué. Rassurez-vous, le diaporama réparera cet oubli forcé.
Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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Par alc-rando le 17 Juin 2018 à 09:36
Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Ribeiro Frio - Levada do Furado - 8.7 km - 11+/181-
L'itinéraire du Sud au Nord.
Aujourd'hui, direction le Pic d'Areeiro qui, grâce à la "positive attitude" de Maciel, s'est trouvé nettement plus dégagé que les jours précédents. C'est simple, il ne restait qu'un tout petit nuage ... juste sur le pic.
Cela ne nous a pas empêchés d'aller voir de plus près le troisième sommet de l'île, siège de boutiques à touristes, d'un radar et de départs de randonnées.
Mais ce n'est pas du pic que nous partirons. Il nous faut redescendre et faire connaissance avec le pragmatisme madérien. Vous utilisez la voie correspondant au rayon de braquage de votre véhicule.
Puis, c'est à partir de Santo-Antonio da Serra que débute notre randonnée en vue de rejoindre, puis de suivre, la Levada de Furado. Soleil et larges sentiers dégagés nous aident à parcourir les forêts d'eucalyptus et autres essences.
Dégagés mais pas toujours...
Et bien entendu, des fleurs, toujours des fleurs. De toutes les couleurs, formes et variétés.
La fleur emblématique de madère est la vipérine dont de magnifiques buissons égaillent la forêt.
La levada, creusée il y a fort longtemps dans la lave, a été rénovée et remise en eau.
Les arbustes, aussi, sont en fleurs, comme ces rhododendrons, mimosas, azalées ...
A la pause, dans un espace aménagé près de la maison du parc, nous ne sommes pas les seuls à nous restaurer. Les pinsons arrivent par vagues et ne laissent rien passer.
Le spectacle du vorace volatile nous ouvre l'appétit et Maciel nous amène donc dans l'ancienne capitale de l'île : Machico, afin de déguster "l'Espetada" ou brochette de bœuf. Machico possède également l'une des deux plages de sable de Madère. Sable importé du Maroc en raison de la nature volcanique du sol.
Après le repas, les Bourguignons sont lâchés dans Funchal pour aller flâner, qui à l'ouest sur la promenade du Lido, qui dans le vieux Funchal et sa pittoresque Rue Santa-Maria aux portes peintes. Sans oublier "Coco" (original non ?) le perroquet qui marque la proximité de l'hôtel dans l'avant dernière côte.
Car la dernière côte a parfois raison des plus endurcies. N'est-ce pas mesdames ?
Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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Par alc-rando le 15 Juin 2018 à 21:08
Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Levada du Sud - 10.2 km - 27+/18-
Fini le repos, aujourd'hui Maciel reprend les rênes : "Allons mes enfants, j'espère que vous êtes en forme..." Et nous voilà parti le long d'une levada récente sur le thème : l'agriculture à Madère.
L'itinéraire d'Est en Ouest.
Comme précédemment la dénivelée est faible le long d'une levada. Toutefois nous mesurons chaque jour l'énormité des travaux qu'il a fallu réaliser pour arriver à ce résultat. Ici, la levada passe sous un torrent, sachant qu'à Madère les torrents sont régulièrement dévastateurs.
L'agriculture est variée : figues de barbarie sauvages au milieu d'un buisson de capucines, patates douces, vignes, pommes de terres*, oranges, avocats, etc...occupent la moindre parcelle disponible.
Ce fauteuil sculpté dans le buisson agrémente un étroit passage emprunté par la levada entre deux maisons.
Quant aux fleurs, là encore nous ne pouvons pas toutes les citer. Arums, pâquerettes aux tons pastel et hortensias poussent à l'état sauvage, formant de véritables buissons que nous traversons.
Une autre particularité de l'île est la présence d'aires de pique-nique aménagées au bord des routes ou en forêt.
Mais bientôt la levada rejoint la route marquant la fin de notre périple du jour. Nous découvrons alors que Sergio a adopté un concept de parking pour bus particulier : le virage en épingle au bord du ravin**.
C'est un peu plus loin à l'ouest que nous déjeunons dans ce restaurant où nous dégustons une spécialité madérienne : le sabre noir à la banane.
Puis par des routes toujours très aériennes, nous nous rendons à Cabo Girao.
Le site est bien aménagé et permet grâce au plancher en verre de voir la mer au pied de la falaise. Mer qui se trouve 580 m plus bas. Si vous regardez bien vous reconnaitrez les champs aperçus en bateau hier.
Plus à l'Est la banlieue moderne de Funchal*** apparaît sur la pointe. Mais regardez bien de plus près. Vous ne voyez rien ?
Si jardiner est un loisir, à Madère cela relève du sport à sensation. Entre la pelleteuse, les deux bassins d'irrigation et les cultures à flanc de falaises il y a de quoi se faire peur.
Pour ce qui est du sport, comme chaque soir nous effectuons l'épreuve reine du séjour : la remontée de pente hôtelière bordée de bananiers.
* quatre à cinq récoltes par an grâce au climat et à la fertilité du sol.
** vous noterez en montant à gauche à partir du bus : le début des travaux pour construire un viaduc (tâche brunes) et le tunnel déjà construit attendant le viaduc pour être opérationnel. Ce matin-là nous avons vu trois chantiers identiques.
*** Zone des hôtels qui se distingue nettement du Funchal historique.Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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Par alc-rando le 13 Juin 2018 à 21:30
Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Journée de repos
Tels les coureurs du Tour de France, nous avons eu droit à notre journée "repos".
Elle commence donc à 8h15 par un départ à pied pour rejoindre en 45 minutes*...... la télécabine de Funchal à Monte (500D+).
Télécabine qui nous permet de découvrir les particularités de l'urbanisme local. Imaginez votre coffre rempli des courses pour la semaine que vous devez transférer du "garage" à la maison.
Après 25 minutes de montée** nous arrivons au jardin tropical de Monte. Géré par une fondation, il met en valeur la flore, mais fait également office de musée à ciel ouvert pour des œuvres diverses ou de lieu d'exposition de gemmes et de pierre semi-précieuses.
La flore ! Que dire ? Où donner de la tête ? Et encore nous sommes arrivés en fin de saison de floraison.
Plusieurs styles se côtoient, classique ou japonais.
Après qu'Alberto ait fait une partie de corde à sauter endiablée avec sa nouvelle amie,...
... nous terminons par la visite sur les gemmes et pierres semi-précieuses. Puis il nous faut rentrer (à pieds pour la plupart) car l'après-midi, une nouvelle phase de repos nous attend.
Je vous avais bien dit que c'était une journée "repos"...Bon, d'accord, c'est peut-être pendant le briefing de sécurité, mais c'est après le repas, donc forcément il y a des circonstances atténuantes.
Puis la horde bourguignonne embarque à bord de deux semi rigides pour deux heures en mer, afin d'aller à la rencontre des cétacés.
De très beaux souvenirs difficilement transposables sur photos. En dépit de l'ambiance "Dents de la mer" qu'évoquent ces ailerons, il s'agit bien de dauphins. Et après avoir croisé et observé deux bancs distincts,...
... cap sur la côte pour découvrir ces jardins de bord de mer qui ont toutefois la particularité ...
... de n'être accessibles que par la mer. On comprendra aisément pourquoi.
C'est en rejoignant le port de Funchal que notre regard est attiré par une bien curieuse installation, au sommet de la falaise. Mais ceci est une autre histoire.
En débarquant, nous pouvons voir les véhicules anciens se préparer au défilé dans les rues de la ville. Et sans le moindre chauvinisme, c'est cette voiture que nous avons désigné comme étant la plus belle. Allez savoir pourquoi.
* La notion de repos est toute relative à Madère.
** Il est effectivement très lent.Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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