Animateur :Thierry Sarazin

Participants : 14. 

Lieu de départ : Foncine-le-Haut.

Météo : Au beau fixe

Ambiance : Au beau fixe ! Tout comme le moral, mais ça, ce n'est pas nouveau.

Les itinérances se suivent mais ne se ressemblent pas. Beau temps certes, mais les fortes pluies
du week-end précédent avaient quelque peu "humidifié" le terrain avec des conséquences notables sur le crédit "Smiley" de l'animateur.

Les distances et autres données chiffrées sont issues de l'application IBP.

La première étape de Foncine-le-Haut à La Chapelle-des-Bois. Petite mise en jambe un peu rallongée par rapport à juin et nettement moins humide. 14.65 Km, 529 D+, 316 D-, 5h00 de plein air.

Repas pris au soleil, nous voilà fin prêt pour cette première étape.

Moins bitumé qu'en juin, l'itinéraire permet de prendre un premier bain de boue, ce qui facilite grandement le passage des chicanes.

Nous nous posons toujours la question : complément alimentaire ou pot de chambre pour bovin ?

Foncine s'estompe dans le lointain. Le cirque des sources de la Saine accompagne la progression du petit groupe.

Un dernier passage humide et ombragé et nous entamons la traversée du Massif du Mont Noir.

Petit détour par le refuge hivernal du Près d'Haut cher à Michel N et à partir duquel on aperçoit le sommet de la Dole.

Après une petite halte nous redescendons à travers de belles forêts. La Combe des Cives est atteinte et nous passons à côté du gîte qui aurait pu être notre destination du jour, s'il n'avait fermé définitivement.

Mais ce n'est point le cas et il faut encore quelques acrobaties pour y parvenir.

Je ne sais pas ce qu'avait bien pu dire l'animenteur, mais manifestement le rappel à l'ordre de Brigitte en fait pouffer certaine.

Vers 17h30 la Chapelle-des-Bois est atteinte après un dernier petit raidillon.

Après l'installation, le réconfort. Et ce ne sont pas les nouveaux accessoires de mode qui empêchent ces dames de papoter.

Puis un "frugal" repas, les derniers rayons du soleil viennent caresser la Roche-Champion, objectif de la matinée suivante. Mais ceci est une autre histoire.