Animateur : Thierry Sarazin.

Participants : 16

Lieu de départ : Darois (route de Prenois, vers la carrière). 

Les données selon l'animateur :

Participants : 16 mais c'est un pur hasard...
Animenteur : initialement René mais finalement Thierry
Distance : en principe 12 mais mesuré à 11,1
Dénivelé : tout pareil ! entre 280 et 320 m
Départ : entre Darois et Prenois.

Vous l'aurez compris, cette sortie aura réservé bien des surprises à tout le monde. René ayant été empêché, c'est Thierry, autre animenteur patenté qui s'y est collé. Et après avoir retrouvé mes brebis, nous partîmes effectuer la randonnée de René.

L'itinéraire dans le sens antihoraire. En jaune la version effectuée. Afin de rendre à René ce qui appartient à René, initialement nous aurions dû emprunter la partie bleue. Mais vous connaissez mon amour immodéré pour les routes !

C'est donc cheveux au vent que nous avons parcouru les premiers kilomètres sur un long, très long chemin blanc.

Le vent et le soleil en déshydratent plus d'une, et d'après nos informations c'était bien de l'eau ...

Presnois traversé sans ambages, nous attaquons la descente vers la Combe au Frêne, par un sentier découvert par René, que peu connaissaient.

Combe au frêne rapidement parcourue sans omettre d'apprécier le cadre bucolique*.

Puis la petite côtelette du Potu de May est gravie dans la joie et la bonne humeur.

A l'issue de la pause, nous cheminons sur le balcon de la Combe Torcy qu'il vaut mieux aborder par temps sec.

Sécheresse toujours avec le niveau plus que bas de la source Torcy.

Toujours allègre, la progression s'effectue rapidement sans pour autant oublier d'admirer les vues que nous offre la région.

Mais soudain, la surprise du jour se dévoile, et après quelques péripéties, les survivants se congratulent pour en avoir réchappé.

Afin d'optimiser le franchissement de la route nous séparant du lieu de stationnement, j'ai décidé de couper "très légèrement" en courte finale. Question : combien de randonneurs voyez-vous sur ce cliché ? **

Et juste après, nos retrouvons nos fidèles montures après 3 heures de plein air et de bonne humeur.

* Ceci dit il faut bien se raccrocher à quelque chose, car les forêts sont dans un état catastrophique après cet été sans eau.

** 5, si si...

Photos et commentaires : Thierry Sarazin.