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Animateur : Michel Germain.
Participants: 10.
Lieu de départ : Pasques.
Le parcours, dans le sens horaire.
Quelques explications sur la rando proposée par Michel : départ sur le sentier du Bouton d'Or, passage à la Ferme de Neuilly, Combe La Maladière.
Herbes à tiques.
Les sous-bois de Pasques, direction Abîme du Creux Percé, puis retour par le sentier de la Traversée des 5 Vallées.
Le groupe à l'arrivée.
Photos et commentaires : Marie-Anne Jeoffroy.
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Organisateurs : Denise et Jean-Pierre Biguet.
Animateurs : nombreux.
Participants : 43
Lieu de départ : L'Etang-Vergy (Parking ancienne gare).
Jean Bouhey, 8h du matin. La tension est à son comble. Où Jean-Pierre va-t-il faire partir l'édition 2018 de ce "rallye famille" ? Finalement le suspens ne durera pas, et les équipes prennent connaissance du circuit et des premières questions sur le parking de l'ancienne gare de l'Etang-Vergy.
Direction Collonges-Lès-Bévy, sous un magnifique soleil pour le plaisir de ces dames.
Mais aux balises, fini de rire, seul le résultat compte : "T'es sûre qu'ils n'écoutent pas ?"
Ce rallye permet de découvrir de drôles de zèbres, avec notamment deux magnifiques spécimens : "l'equus caballus zebra" ou encore un "jipédus fleurus" de toute beauté ...
Les organisateurs, craignant une circulation record, ont dû baliser les stands, afin d'éviter toute confusion de la part des participants...
Organisateurs qui, après un énorme travail de préparation, se régalent enfin à voir les têtes des participants répondant aux questions de culture générale.
De retour à l'Etang-Vergy, les bancs de la discorde n'ont pas l'air d'émouvoir plus que cela certains participants*.
Autre épreuve redoutable**, l'épreuve du collier de laine et de haricot vert qui, comme chacun le sait, pousse en abondance dans l'arrière-côte !
Et comme chaque année, c'est dans l'enceinte du centre aéré de Concœur et grâce au dévouement sans faille de la Commission Manifestations, épaulée de main de maître par Jérôme, que se tient le repas.
Repas qui précède le non moins traditionnel tournoi de pétanque où tous les styles sont admirés et plusieurs accidents évités : "Martial baisse la tête...". L'ensemble conseillé et commenté par nos deux anciens*** et pour le plus grand plaisir des spectateurs "subjugués" par autant de technicité ...
Et enfin le moment tant attendu a lieu. La commission d'organisation, totalement impartiale****, proclame les résultats en commençant par ... un bout. Félicitations à tous les participants pour leur sagacité et leur bonne humeur.
Et comme chaque fois la photo de groupe vient clore cette belle journée. Merci aux organisateurs pour le travail effectué et gageons que l'an prochain l'édition 2019 ait encore plus de succès.
* A la question "Combien de pierres composent les bancs du lavoir ?" que répondriez-vous ? Un indice ! D’accord : Un banc n'a pas de pied d'après certains ...
** Certainement inspirée par un collier de nouilles de fête des mères mal vécu.
*** Je ne sais pas pour vous, mais cette photo m'a rappelé une émission avec des marionnettes !
**** Mais néanmoins grande amatrice de composition florale. Vous en doutez ? regardez bien la photo de groupe ...Photos : Denise Biguet, Bernard Levret et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
Note du blogueur : n'oublions pas de remercier Robert, travailleur de l'ombre, ainsi que tous les animateurs et bénévoles qui ont ramené tout le monde à la maison, et c'était pas facile ...
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Animateur : Martial Darceaux.
Participants : 23.
Lieu de départ : Semezanges.
Nous étions 23 personnes au départ de Semezanges.
Pause à l'ombre des arbres.
C'est reparti !
21,22 et 23. Le compte est bon !
Obstacles.
Le clocher de Semezanges.
Oui, vous avez bien vu, ils sont devant ...
Retour au point de départ.
Merci à vous de votre présence.
N'oubliez pas de vérifier les tiques, perso j'en suis à 22.Photos : Bernard Levret et Martial Darceaux.
Commentaires : Martial Darceaux.
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Animateurs : Daniel Verseux assisté de Daniel Sordet et Jean-Pierre Biguet.
Participants : 23, dont 2 personnes extérieures à la section.
Lieu de départ : Longvic (Espace Jean Bouhey).
Randonnée organisée dans le cadre de la Journée Portes-ouvertes de l'ALC Longvic.
Le parcours, très facile, de 6,500 km pour découvrir les différents chantiers en cours et les aménagements vers l'Etang Royal.
Le château du XVIIIe siècle, siège de l'ALC durant 35 ans (de 1979 à janvier 2015), sera rénové et la parc complètement réinventé.
Un autre chantier pour un Centre-Ville plus vivant et dynamique avec la construction de logements et l'extension de l'espace commercial.
Le sentier "des Cèdres aux Peupliers" devrait voir sa fréquentation augmenter ...
... grâce au passage, enfin aménagé, dans cette liaison verte entre Longvic et Neuilly.
Pour parfaire nos connaissances techniques, Gérard nous apporte quelques précisions ...
... sur cette fameuse boule qui dépasse l'horizon boisé.
Souvenir inaugural de/et sur la "Butte de l'Ouche" avec quelques-uns des participants.
Photos : Jeanine Daugabel.
Commentaires : Daniel Verseux.
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Animateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 21.
Lieu de départ : Etaules (Maison Forestière du Roy Jeannot).
Au départ de cette baladouce, près de la Maison Forestière du Roy Jeannot, les participants sont très attentifs aux recommandations, mème sans baguette pédagogique.
Après avoir traverser le Dessus de la Fontaine, nous découvrons le nouveau balisage du '' Pic Cendré '' près du lavoir d'Etaules.
Après la photo de groupe, certains participants s'interrogent sur les consignes de cette pancarte ...
Pas de commentaires !!!!!!!
Photos : Denise Biguet.
Commentaires : Jean-Pierre Biguet
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N'oubliez-pas, vendredi, à partir de 18h, auront lieu les 22èmes Foulées Longviciennes, organisée par la Municipalité de Longvic !!!
Voici le bulletin d'inscription :
A cette occasion, dans le cadre de cette manifestation, l'ALC Longvic organise son challenge intersections : "Les Pas de l'ALC ... dans les Foulées"
Pour tous les détails, rapprochez-vous rapidement de l'ALC Longvic !
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Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Caldeirao Verde - 13.7 km - 580+/560-
L'itinéraire du Nord au Sud-Est, en passant par le Sud-Ouest. (Vous suivez jusque-là ?)
Pour nous rendre au départ de notre dernière randonnée (snif !), nous commençons par passer sous la fameuse piste de l'aéroport de Funchal, rallongée de 1500 m grâce à un tablier posé sur 180 piliers*.
Puis à Santana, nous apercevons les maisons traditionnelles du Nord de l'île. Inhabitées, elles ont été restaurées à l'intention des touristes.
A Ilha, Maciel reprend la direction des opérations, devant un groupe de randonneurs particulièrement attentifs**. Il annonce une montée par paliers.
Et effectivement, montées il y eut.
Après un énième palier et une énième montée ...
... nous reprenons contact avec une levada*** et ses tunnels nettement plus bas que celui du premier jour (n'est-ce pas Michel ?).
A la sortie du tunnel, un épais brouillard masque le paysage. D'après Maciel "C'est bien !"****.
Ma pauvre Monique, où ne te font-ils pas passer ? Heureusement Nono veille.
Ambiance tropicale avec la progression qui se poursuit dans les nuages jusqu'à parvenir au ...
... Caldeirao Verde qui se "dévoile" enfin. (si je puis dire...)
Après un pique-nique rapide, c'est le retour, avec ici une scène … de croisement.
Ça va Martine ? Détendue ?... et un léger "aperçu" du relief.
Les 4 tunnels passés, le chemin s'élargit jusqu'à ...
... la Maison du Parc de Queimadas, où est prise cette photo du groupe.
La journée se termine par une visite attendue depuis le premier jour : une cave de Madère. Et c'est à l'issue que nous nous retrouvons tous avec Maciel pour une dernière puncha avant de faire nos valises et de reprendre l'avion le lendemain matin.
* Ce n'est pas un mythe, nous l'avons constaté tout au long de notre séjour. Les Madériens maîtrisent le béton. Mais attention à ne pas trop bétonner !
** Ah c'est sûr qu'il sait y faire Maciel. Y en a pas un qui bronche. Les animenteurs de l'ALC vont donc se former au maniement de la "baguette pédagogique" afin d'obtenir ce résultat idyllique.
*** Levada de caldeirao verde.
**** Il semble que l'abîme de 400 m annoncé par le topo guide ralentisse le rythme quand on voit jusqu'au fond. Allez comprendre pourquoi !PS : Les contraintes techniques du blog m'obligent à limiter le nombre de photos. Il m'a fallu faire un tri et je suis certain mesdames que l'absence de Nono vous aura marqué. Rassurez-vous, le diaporama réparera cet oubli forcé.
Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Ribeiro Frio - Levada do Furado - 8.7 km - 11+/181-
L'itinéraire du Sud au Nord.
Aujourd'hui, direction le Pic d'Areeiro qui, grâce à la "positive attitude" de Maciel, s'est trouvé nettement plus dégagé que les jours précédents. C'est simple, il ne restait qu'un tout petit nuage ... juste sur le pic.
Cela ne nous a pas empêchés d'aller voir de plus près le troisième sommet de l'île, siège de boutiques à touristes, d'un radar et de départs de randonnées.
Mais ce n'est pas du pic que nous partirons. Il nous faut redescendre et faire connaissance avec le pragmatisme madérien. Vous utilisez la voie correspondant au rayon de braquage de votre véhicule.
Puis, c'est à partir de Santo-Antonio da Serra que débute notre randonnée en vue de rejoindre, puis de suivre, la Levada de Furado. Soleil et larges sentiers dégagés nous aident à parcourir les forêts d'eucalyptus et autres essences.
Dégagés mais pas toujours...
Et bien entendu, des fleurs, toujours des fleurs. De toutes les couleurs, formes et variétés.
La fleur emblématique de madère est la vipérine dont de magnifiques buissons égaillent la forêt.
La levada, creusée il y a fort longtemps dans la lave, a été rénovée et remise en eau.
Les arbustes, aussi, sont en fleurs, comme ces rhododendrons, mimosas, azalées ...
A la pause, dans un espace aménagé près de la maison du parc, nous ne sommes pas les seuls à nous restaurer. Les pinsons arrivent par vagues et ne laissent rien passer.
Le spectacle du vorace volatile nous ouvre l'appétit et Maciel nous amène donc dans l'ancienne capitale de l'île : Machico, afin de déguster "l'Espetada" ou brochette de bœuf. Machico possède également l'une des deux plages de sable de Madère. Sable importé du Maroc en raison de la nature volcanique du sol.
Après le repas, les Bourguignons sont lâchés dans Funchal pour aller flâner, qui à l'ouest sur la promenade du Lido, qui dans le vieux Funchal et sa pittoresque Rue Santa-Maria aux portes peintes. Sans oublier "Coco" (original non ?) le perroquet qui marque la proximité de l'hôtel dans l'avant dernière côte.
Car la dernière côte a parfois raison des plus endurcies. N'est-ce pas mesdames ?
Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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Organisateur : Jean-Pierre Biguet.
Participants : 35.
Levada du Sud - 10.2 km - 27+/18-
Fini le repos, aujourd'hui Maciel reprend les rênes : "Allons mes enfants, j'espère que vous êtes en forme..." Et nous voilà parti le long d'une levada récente sur le thème : l'agriculture à Madère.
L'itinéraire d'Est en Ouest.
Comme précédemment la dénivelée est faible le long d'une levada. Toutefois nous mesurons chaque jour l'énormité des travaux qu'il a fallu réaliser pour arriver à ce résultat. Ici, la levada passe sous un torrent, sachant qu'à Madère les torrents sont régulièrement dévastateurs.
L'agriculture est variée : figues de barbarie sauvages au milieu d'un buisson de capucines, patates douces, vignes, pommes de terres*, oranges, avocats, etc...occupent la moindre parcelle disponible.
Ce fauteuil sculpté dans le buisson agrémente un étroit passage emprunté par la levada entre deux maisons.
Quant aux fleurs, là encore nous ne pouvons pas toutes les citer. Arums, pâquerettes aux tons pastel et hortensias poussent à l'état sauvage, formant de véritables buissons que nous traversons.
Une autre particularité de l'île est la présence d'aires de pique-nique aménagées au bord des routes ou en forêt.
Mais bientôt la levada rejoint la route marquant la fin de notre périple du jour. Nous découvrons alors que Sergio a adopté un concept de parking pour bus particulier : le virage en épingle au bord du ravin**.
C'est un peu plus loin à l'ouest que nous déjeunons dans ce restaurant où nous dégustons une spécialité madérienne : le sabre noir à la banane.
Puis par des routes toujours très aériennes, nous nous rendons à Cabo Girao.
Le site est bien aménagé et permet grâce au plancher en verre de voir la mer au pied de la falaise. Mer qui se trouve 580 m plus bas. Si vous regardez bien vous reconnaitrez les champs aperçus en bateau hier.
Plus à l'Est la banlieue moderne de Funchal*** apparaît sur la pointe. Mais regardez bien de plus près. Vous ne voyez rien ?
Si jardiner est un loisir, à Madère cela relève du sport à sensation. Entre la pelleteuse, les deux bassins d'irrigation et les cultures à flanc de falaises il y a de quoi se faire peur.
Pour ce qui est du sport, comme chaque soir nous effectuons l'épreuve reine du séjour : la remontée de pente hôtelière bordée de bananiers.
* quatre à cinq récoltes par an grâce au climat et à la fertilité du sol.
** vous noterez en montant à gauche à partir du bus : le début des travaux pour construire un viaduc (tâche brunes) et le tunnel déjà construit attendant le viaduc pour être opérationnel. Ce matin-là nous avons vu trois chantiers identiques.
*** Zone des hôtels qui se distingue nettement du Funchal historique.Photos : Annick Fraison, Denise Biguet, Ghislaine Berger, Maria Courtejaire, Marie-Anne Jeoffroy, Bernard Mathieu, Daniel Verseux, Georges Quintin et Thierry Sarazin.
Commentaires : Thierry Sarazin.
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